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La crise écologique est aussi une crise de la sensibilité, ainsi que le rappellent Baptiste Morizot et Estelle Zong-Mengual, une crise de l’imagination et du sensible, tout autant qu’une crise des récits et des formes culturelles qui nous relient plus largement aux autres formes de vie (animale, paysagère, végétale, etc.). 

 

Il y a de ce fait urgence à repenser conjointement d’autres cultures de la nature mais aussi d’autres natures de ce qui fait culture : des cultures qui, entremêlant histoires et récits largement segmentés et minorisés du vivant, sont capables, telles les cultures paysannes et artisanales, mais également queer, féministes et décoloniales, de déjouer l’instrumentalisation des rapports nature/culture et de dépasser les dichotomies et les oppositions entre nature et contre-nature.

Tel sera l’objet premier de cette rencontre et du partage proposé durant ces trois jours imaginés par la Compagnie l’Hiver nu à la Fabrique du Viala en Lozère : une invitation à approfondir ensemble les perspectives développées par le Mouvement pour une société écologique post-urbaine depuis maintenant quatre années, défendant la nécessité de l’alliance de tous les subalternisés autour de cultures rurales en particulier, ici par les arts des milieux et les expériences du vivant, avec le concours premier de Barbara Métais-Chastanier et du collectif Les Enchevêtré.e.s

Retrouvez bientôt la synthèse des Premières Rencontres  !

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